La présence dans les collections bordelaises du célèbre tableau La Grèce sur les ruines de Missolonghi, exécuté par Eugène Delacroix en 1826, constitue le point de départ de cette exposition. Lié à Missolonghi par ses origines familiales, Nikos Aliagas, journaliste et photographe, a souhaité rendre hommage à la fois à cette oeuvre qu’il affectionne depuis son enfance et au courage dont ont fait preuve ses ancêtres, préférant « la mort à l’esclavage », lors du siège de la ville par les Ottomans.